e vorrei qui immediatamente
RESURREZIONE, ALE Cara
Veronica Lake,
maintenant
je suis en train de t’écrire en Français (mal mais j’écrive...)
mais en ce temps là que j’étais un fan de toi ma langue
maternelle était le dialecte du Piémont, et seulement après j’ai
appris à l’école l’Italien la langue nationale...
OLIO
DELINA, FORMAGGIO TOME E UOVA.... et
après (ou peut-être dans le même temps) ENTRE LES BLONDES DU CINEMA il y était Lana Turner,
plus sensuelle, aussi plus vulgaire, plus dangereuse, la blonde
platinée du facteur qui sonne toujours deux fois, lui était John Garfield (1913-1952), elle était en hot pants avec le rouge qui roule – et
l’assonance du mot ‘rouler’ me porte le pot de « Il
roule, Il roule… » IL BARATTOLO la chanson populaire italienne je ne sais
plus l’auteur (IN QUESTO MOMENTO)… et elle Lana Turner est méchante, très méchante…
....jamais
dans l’histoire de l’art ou simplement de l’humanité il y a
été – si je sais bien – moyen (artistique? expressive? comment
on peut dire? En anglais on dit ‘media’?) qui a donné une image
pareille de la femme méchante comme le cinéma a fait (peut-être
seulement les sorcières des vieilles faibles… mais elles étions
sorcières…) et plus dans le cinéma elle est méchante, plus on
l’aime… (c’est seulement le male qui l’aime? ou elle incarne
aussi le desir de vengeance des femmes sur les hommes ? ou est
le masochisme du macho ?
mais
alors rita hayworth la rouge que Orson Welles son mari a transformé
inexplicablement (il s’agissait d’un vengeance, je pense…) en
blond platinée comme la madame de Shangai (on dit comme ça le titre
en Français ?) mais presque sûrement parce que la blonde
platinée peut être plus froide et mauvaise comme image …..I CINQUE NOSTRI DI FRONTE A LA VALLETTA MALTA e il Mediterraneo
IL MANI Peloponneso dove sono state disperse a suo volere le ceneri di BRUCE CHATWIN e poi qui JOUR ET NUIT
e
I DUE FIGLI DI CARLOTTA A RIO dove vivono tutti e quattro LONTANO DA QUI e tutto sta a vedere cosa è QUI e cosa è LA' e qui sotto NOZZE DI SILVIA E DUCCIO in Toscana accanto al greto del torrente dove lei andava col papà
...e chi potrà mai
dimenticare l’immagine di Rita Hayworth LA SIGNORA DI SHANGAI rifratta tante volte della scena dei tanti
specchi divenuta emblematica di tutto quello che è ed è stato e
sarà della vita a due e dello specchiarsi in quello che riflette
soltanto e pone domande interrogativi senza dire veramente… ma devo confessare che oggi volevo dire cose più vicine alla vita nostra e degli altri nella sua quotidianità ma non ci sono riuscito, sopratutto con le parole, ma le immagini già vorrebbero indicare quella direzione... e cioè si è sempre spaccati in due... e i pezzi... (continua)
olio
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